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La rue Catherine de La Rochefoucauld dans le IXe arrondissement de Paris n’avait pas vu pareil déploiement d’extravagance depuis près de deux siècles. Le quartier de la Nouvelle Athènes, ancien territoire des artistes et partisans du romantisme français désormais fort bourgeois, a servi de décor, jeudi 6 février, à un rassemblement de sympathisants de la culture drag invités à découvrir une – petite – exposition organisée par l’Ecole supérieure des arts et métiers de la mode (Esmod). «L’Art du drag : trois regards mode» se concentre sur trois silhouettes réalisées par trois anciens élèves invités à partager leur expérience dans des vidéos d’une dizaine de minutes.
Présentés dans l’atrium d’un impressionnant bâtiment datant du début du XXe siècle, les ensembles incarnent différentes facettes du genre que Drag Race France a popularisé ces dernières années : Miss Boo joue la carte de l’humour, Kitty Space, révélée dans la saison 2 de l’émission, évoque ses origines asiatiques et françaises, Maxime Arthur (promo 2017) et sa marque «drapeau blanc» se concentrent sur le reveal, l’art de
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