Nos critiques des sorties cinéma de ce mercredi 12 février : «The Brutalist», «Bridget Jones : folle de lui», «Strip-tease intégral»…

Réflexion sur la modernité et ses contradictions, le film de Brady Corbet retrace le destin d’un architecte hongrois fictif rescapé de la Shoah, qui débarque aux Etats-Unis avec ses traumatismes pour bagage. Lire notre critique et interview des co-scénaristes Brady Corbet et Mona Fastvold.

Mêlant l’autodérision à la tendresse, le quatrième opus des aventures de l’éternelle célibataire, désormais veuve et mère, se révèle le meilleur de la saga. Lire notre critique.

Des influenceurs à Dubaï, une mère catho écolo, une stand-uppeuse en galère… L’émission culte revient au cinéma avec cinq courts documentaires mordants à souhait. Lire notre critique.

Dans une mise en scène dépouillée et délicate, la cinéaste dépeint le portrait de son père et de leur relation en clair-obscur. Lire notre critique

Entre western et film noir, le cinéaste suit la cavale d’un berger corse indocile aux prises avec des spéculateurs sans scrupule. Un peu manichéen mais convaincant. Lire notre critique.

Ecrit et filmé dans la tourmente de la franchise MCU et l’attente d’un éventuel second mandat de Trump, le long métrage en salles ce mercredi 12 février n’a en fait rien à dire sur le contemporain. Lire notre critique.

Suivant des soldats nordistes dans les confins sauvages du Montana, au début de la guerre de Sécession, l’Italien Roberto Minervini signe un film sans patriotisme, âpre et sensoriel. Lire notre critique.

Réunissant les anciens pensionnaires d’une institution religieuse pour garçons mineurs en Savoie dans les années 70, Clémence Davigo ouvre un espace d’écoute sur les sévices qu’ils y ont subi. Et avec effroi, met en lumière la surdité du diocèse.