EN IMAGES - Tuer pour se défendre (de la violence masculine)

EN IMAGES – Tuer pour se défendre (de la violence masculine)

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Dans l’œil de Libé

Avec Ioana Pascaru, les photographes Hahn+Hartung racontent, dans la série «Wives That Killed: Stories of Survival», l’histoire de six femmes roumaines ou moldaves allées jusqu’au meurtre pour mettre fin à leur cauchemar conjugal.

publié aujourd’hui à 18h00

En 2023 en Moldavie. Elena porte un bracelet électronique après avoir été relâchée. Elle est techniquement libre, mais encore liée à des restrictions avec l’interdiction de quitter le pays. Le bracelet représente le passé qui pèse encore sur elle.

Hahn+Hartung

Le tombeau du mari de Nicoleta à Ionut, leur village en Moldavie, en 2022.

Hahn+Hartung

Elena dans la prison de Rusca, en Moldavie, en 2022.

Miguel Hahn et Jan-Christoph Hartung

Un homme à une fête de mariage à Chisinau. Le patriarcat est encore très présent dans la société et influence les rapports entre les sexes.

Hahn+Hartung

Un étal de rue avec des fruits et du vin et brandy faits maison en Roumanie. L’abus d’alcool est une des causes déterminantes des violences domestiques.

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Des détenues de la prison de Rusca, en Moldavie.

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L’entrée de la prison de Rusca.

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Svetlana dans sa cellule lisant la Bible. La religion a un rôle crucial dans la vie de ces femmes. Plusieurs restent très pieuses, en priant tous les jours et allant à l’église dès que possible, même si l’église maintient souvent les normes de genre et conseille aux femmes de vivre dans la souffrance, comme symbole de leur croix à porter.

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L’icône de saint Georges, souvent vu comme le tueur du dragon, symbole du Mal pour la victoire du Bien, dans la prison de Rusca. Le mari de Victoria s’appelle Georges et leur nouveau-née Georgeta.

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Elisabeta dans le jardin de la cafétéria où elle travaille, en Roumanie. Les tabloïds locaux publient des portraits négatifs de ces femmes sans inclure les raisons pour lesquelles elles sont passées à l’acte. A l’opposé, les villageois – les voisons, les amis et même les autorités locales – expriment de l’attachement en reconnaissant que ces homicides sont dus à des soucis systémiques. Les groupes féministes aussi militent pour le point de vue des survivantes de violences conjugales.

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Dans le village de Maria, en Roumanie.

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Maria devant la maison de sa fille, à côté de Iasi, en Roumanie.

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Elisabeta rend visite à sa fille plus jeune, Caro, et sa famille dans un village à côté de Brasov, en Roumanie.

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Un mariage à Chisinau, la capitale moldave.

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