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Richard Ferrand sera auditionné mercredi 19 février par les commissions des lois de l’Assemblée et du Sénat, qui doivent valider (ou non) sa candidature à la présidence du Conseil constitutionnel, proposée par Emmanuel Macron. Et si les sénateurs LR intensifient leur tir de barrage contre le grognard du Président, l’accueil chez leurs collègues députés n’est pas beaucoup plus chaleureux.
Le groupe Droite républicaine au Palais-Bourbon n’est ainsi «pas du tout favorable» à cette nomination, confie à Libé un élu membre de la commission, qui aura le droit de vote. De petites gouttes de sueur commencent donc à perler sur les tempes macronistes, puisqu’un vote «contre» des 3 /5e des parlementaires renverrait Ferrand à ses activités de conseil dans le privé. Sur les 122 élus appelés à voter (49 au Sénat, 73 à l’Assemblée), 62 font partie du «socle commun» (du Modem à LR) : 60 sont donc des opposants, alors que 74 voix suffiront à saquer l’ex-président de l’Assemblée – en réalité sans doute moins car seuls les votes exprimés étant pris en compte, les abstentions font baisser la ba
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