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Rien, hormis une phrase vague à la fin de son discours. Le vice-président américain, J.D. Vance n’a pas abordé le dossier le plus important qu’avaient à traiter les diplomates venus à la conférence annuelle de Munich sur la sécurité lors de son discours prononcé ce vendredi 14 février après-midi. Il était plus qu’attendu sur le sujet, l’administration Trump ayant multiplié ces derniers jours les déclarations, le plus souvent pro-russes, quand elles n’étaient pas contradictoires, sur le lancement de négociations de paix et sur l’issue du conflit déclenché par Moscou il y a trois ans. Mais non, J.D. Vance a préféré attaquer et critiquer l’Europe où, selon lui, la liberté d’expression «recule» et où la démocratie serait en péril.
Il s’en est notamment pris au «cordon sanitaire» des partis politiques allemands qui refuseront de former un gouvernement avec l’AfD, une formation d’extrême droite, après les élections législatives du 23 févri
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