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Le liquidateur de l’Etat fédéral américain se serait-il reconverti en enfant de chœur ? Depuis que l’homme le plus riche du monde a proposé de racheter une partie d’OpenAI pour 97,4 milliards de dollars en début de semaine, on l’entend hurler à la Lune. A en croire le serial entrepreneur, sa tentative de rachat n’aurait qu’un seul objectif : empêcher la firme à l’origine de ChatGPT de basculer du côté obscur de la force en devenant une entreprise à but lucratif. Un changement qui l’amènerait, selon lui, à renier sa mission première. A savoir créer une intelligence artificielle (IA) ouverte, bénéfique et sûre pour l’humanité.
Rien que mercredi 13 février, ses avocats en ont remis une couche dans des documents judiciaires : «Si le conseil d’administration d’OpenAI est prêt à préserver la mission de l’organisme de bienfaisance et à [arrêter] sa conversion, Musk retirera l’offre», promettent-ils. Dans le cas contraire, le multimilliardaire insistera et persévérera avec sa mallette de billets – fournis par un consortium d’investisseurs – sur la table. Le propriétaire du réseau social X se montre combatif. Mais ses intentions sont-elles si désintéressées que cela ? Le discours de philanthrope, tenu par le même homme d’affaires aux dents acérées qui en 2022
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