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«Un constat et des chiffres indiscutables», c’est ce que François Bayrou attend du rapport sur l’état du financement des retraites que la Cour des comptes va remettre ce jeudi 20 février à la fois au Premier ministre ainsi qu’aux acteurs sociaux qu’il a chargés de «reprendre» la réforme des retraites de 2023, au terme d’une «mission flash» exécutée en un mois. Le locataire de Matignon le sait : pour que son initiative soit couronnée de succès, il faut qu’un accord même partiel voie le jour au bout des trois mois qu’est censé durer ce qu’il a appelé un «conclave» (plus officiellement une «délégation permanente des partenaires sociaux»). Cela lui permettra de transmettre un texte au Parlement, qui «aura le dernier mot», a garanti François Bayrou, donnant ainsi des gages notamment au Parti socialiste pour s’épargner une censure.
Encore faut-il d’abord que tous les protagonistes s’entendent sur un diagnostic financier. En réalité, celui-ci existe déjà, à travers les rapports annuels que publie le Conseil d’orientation des retraites (COR),
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