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Au premier étage d’un café du IIIe arrondissement de Paris ce vendredi 21 février, Julien Bayou se tient au milieu de la pièce, assis à une table au côté de son avocate, Marie Dosé. La veille, les plaintes pour «harcèlement moral» et «abus de faiblesse», qui visaient l’ex-secrétaire national des Ecologistes, déposées par son ancienne petite amie et ex-militante écolo, Anaïs Leleux, ont été classées «sans suite» par le parquet. «Ce n’est pas un soulagement dans le sens où je savais que ça allait être classé, mais c’est l’espoir d’un coup d’arrêt», raconte l’ancien député de Paris à Libération. Sans aucune responsabilité politique depuis 2024 après avoir accepté de ne pas se présenter aux législatives anticipées, celui qui a repris une activité d’avocat dit «ne plus rien attendre» de son ancien parti qu’il «ne reconnaît plus».
Devant la presse, il revient sur cette affaire qui le suit depuis 2022 et le lancement d’une première enquête interne au parti. Faute de témoignages suffisants, elle s’était arrêtée. En 2024, son ex-compagne porte plainte contre lui. Il finit par
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