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Présidentielle américaine
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Dans une déclaration imprévue depuis Washington, la vice-présidente a imploré mercredi le peuple américain de ne pas élire Donald Trump, un «fasciste» en quête de «pouvoir absolu».
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Un homme «de plus en plus dérangé». Un «fasciste» en puissance, avide d’un «pouvoir absolu» et d’une armée à son service personnel. Jamais la vice-présidente américaine, Kamala Harris, engagée dans un duel extrêmement indécis avec Donald Trump, n’avait fustigé à ce point son rival républicain, dépeint en danger existentiel pour l’avenir de la démocratie américaine.
Au milieu de la frénésie de la campagne, des interviews et des meetings à travers les Etats qui feront la différence le 5 novembre, Kamala Harris a tenu, ce mercredi, à faire une pause solennelle. Et à rappeler aux Américains, dans une brève déclaration prononcée depuis sa résidence officielle à Washington, l’enjeu fondamental, à ses yeux, du duel qui l’oppose à Donald Trump.
Ajoutée à son agenda à la dernière minute, cette prise de parole a été décidée à la hâte en réaction aux propos de John F. Kelly, général retraité des Marines et directeur de cabinet de Donald Trump à la Maison Blanche, de l’été 2017 à début 20
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