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Imaginez les toits de Barcelone. Imaginez un grand ciel bleu et une lumière méridionale. Imaginez une terrasse accueillante avec des plantes et des coussins. Là, dans ce décor caliente, deux mecs TBM (pour «très bien monté»), l’un peut-être poilu, l’autre tatoué, s’emmanchent sur un transat. C’est très excitant évidemment. Voilà la recette bandante des films X à succès de Tim Kruger, mort prématurément ce week-end à l’âge de 44 ans. De son vrai nom Marcel Bonn, le producteur et acteur allemand de porno gay a succombé à son domicile catalan d’un «simple accident domestique», selon son partenaire monteur Grobes Geraet. Sa communication écarte toute circonstance sensationnelle (overdose, suicide, jeux sexuels dangereux) coutumière à l’industrie pornographique. Et son compagnon d’insister : «Pour le public, il était l’ultime pornstar roux ; pour moi, il était un partenaire doux et attentionné depuis plus de vingt ans. Il était aussi mon meilleur ami.»
Il n’est pas le seul à pleurer la disparition de ce grand roux aux yeux bleus de 1m83 pour 78 kilos, très bien membré (25 centimètres revendiqués) et reconnu pour son charme bienveillant. Sur Instagram, Bruce LaBruce regrette un homme «aimable, gentil et décontracté.» «Le porno qu’il a fait, dans lequel il a souvent joué, était toujours très chaud, naturel et sans prétention», salue le cinéaste canadien qui
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