:quality(70):focal(3045x2265:3055x2275)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/TZQCLNJCVVEX5AT7F43BNT7PYM.jpg)
Moins familier qu’un césar ou un molière, le B Corp est un «trophée» qui mérite un minimum de pédagogie : imaginée par une ONG américaine, il s’agit d’une certification internationale répondant à des critères rigoureux, octroyée à des sociétés commerciales dont on considère que, d’un point de vue environnemental et sociétal, elles ont un effet bénéfique sur le monde. Ainsi, à l’échelle d’une planète clairement pas au mieux de sa forme, dénombre-t-on à ce jour plus de 3 000 boîtes dignes de défendre le cachet apotropaïque du label, parmi lesquelles environ 400 sur le territoire français. Dont le groupe hôtelier Mob, pensé par Cyril Aouizerate.
Un entreprenant entrepreneur, autant qu’urbaniste urbain, qui porte le chapeau (à bord plat) et, tant qu’à faire, coiffe également la casquette de philosophe – deux essais faisant foi, chez ce grand amateur de rugby. De là à flairer l’oxymore… Que ne renie pas le barbu à lunettes, quinquagénaire d’une élégance sobrement étudiée, en sandales en cuir, pantalon large et veste noirs sur une chemise blanche boutonnée jusqu’au cou : «Je m’accorde plus de crédit à assumer l’apparente contradiction de certains termes me définissant, qu’à me draper dans la seule fonction d’intellectuel dont la pensée resterait sans traduction concrète. Heidegger, Derrida, Levinas, on en a un peu soupé, non ? Du moins, en étant ho
Leave a Comment