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Puisqu’il a été décidé de donner à chaque édition du festival Spring un sous-titre, la seizième a été estampillée : «Faire corps avec le monde.» Pourquoi pas ? Après, pour être franc, compte tenu de la multiplicité des propositions, éclatées dans le temps (printanier, donc, comme l’indique le nom de l’événement, qui n’exige pas a priori une licence d’anglais pour être traduit) et l’espace, avec 65 lieux de représentation impliqués (!), il reste difficile, d’une année sur l’autre, de dégager un mot d’ordre ou une orientation. Reste la dénomination de certaines pièces, du Révolte ou tentatives de l’échec des Filles du renard pâle au Brûler d’envies de la 36e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) qui, vu en début d’année à la Villette, témoignait – comme de coutume au Cnac – d’une jeunesse sombre, percluse d’interrogations (identitaires, environnementales, sociales…) assez prévisiblement anxiogènes désormais.
Mais respectons le dessein et l’ambition des hôtes, qui ont ici la particularité de fonctionner sur une articulation bicéphale car, événement international d’envergure dédié au cirque contemporain, Spring est porté par la Plateforme 2 pôles cirqu
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