Pourquoi l’Europe devrait approuver la construction du futur collisionneur de particules du Cern

Pourquoi l’Europe devrait approuver la construction du futur collisionneur de particules du Cern

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Le futur collisionneur circulaire du Cern (FCC), proposé dans le cadre de la stratégie européenne de la physique des particules qui se terminera au printemps 2026, pourrait être construit à partir de 2032. Il nécessite un nouveau tunnel souterrain de 91 kilomètres de circonférence et de petit diamètre (5,5 m) dans lequel seraient installés les futurs accélérateurs, fournissant des collisions électron positron dans une première phase (FCC-ee) puis, éventuellement, des collisions proton-proton (FCC-hh).

Une tribune publiée le 25 février dans Libération appelle à renoncer au FCC pour des raisons principalement écologiques et financières, mais aussi pour l’incertitude supposée de ses retombées scientifiques. Nous, physiciens responsables d’équipes ayant contribué à l’étude de faisabilité du FCC (2021-2025) et au nom de la communauté FCC-France, tenons à rappeler au contraire l’exemplarité de ce projet pour l’impact environnemental, ses enjeux scientifiques fondamentaux, et son importance pour la société.

Le Cern, l’organisation européenne pour la physique des particules, avec 2 500 employés et 15 000 utilisateurs venant principalement des 24 Etats membres du Cern, des 10 Etats associés, dont l’Inde, le Pakistan, le Brésil, et des 4 observateurs dont les Etats-Unis et le

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