Municipales : à gauche, le Paris de la désunion

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A un an des prochaines municipales, Anne Hidalgo dort plutôt bien. En «position de force», comme elle se qualifie elle-même après le succès des Jeux olympiques et paralympiques, la maire de Paris se dit sereine. Selon elle, les chances de voir sa grande rivale Rachida Dati lui succéder sont très faibles, malgré les premières enquêtes d’opinion qui placent la ministre de la Culture en nette avance dans un hypothétique premier tour. Sauf grand bouleversement, se persuade l’édile, la capitale devrait donc rester dans le giron de la gauche (depuis 2001). Comme elle, nombre d’élus de la majorité municipale sortante (PS-écologistes-PCF) n’identifient pas l’élection municipale de mars 2026 comme un scrutin dangereux. «Il n’y a pas vraiment de risque, même avec l’incertitude de la réforme de la loi PLM», abonde-t-on dans l’entourage de Rémi Féraud, l’un des deux candidats à la primaire socialiste.

Il n’empêche qu’à près d’un an de l’élection, la gauche n’est pas vraiment en ordre de bataille. A Paris,

Libération

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