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Joie dans les rangs de ceux qui alertent depuis des années sur les dérives, avec de l’argent public, des gros groupes d’enseignement supérieur privés, comme Galileo. Et prudence à la fois, vu l’immobilisme des gouvernements successifs. Lundi soir, les ministres de l’Education et de l’Enseignement supérieur, Elisabeth Borne et Philippe Baptiste, ont annoncé une inspection interministérielle «pour une plus grande transparence du fonctionnement des établissements d’enseignement supérieur privés à but lucratif». Veulent-ils entreprendre de front le sujet ou juste éteindre ce début de débat public ? Dernière étincelle : la sortie du livre le Cube (Flammarion), dans lequel la journaliste Claire Marchal décrit, à son tour, le fonctionnement (et surtout les travers) du groupe Galileo, se présentant comme leader mondial de l’enseignement supérieur privé.
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