Chez Pol
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En pleine affaire Cahuzac, celle qui était alors présidente du FN militait pour exclure définitivement de la vie politique les personnes condamnées pour des faits en lien avec leur mandat.
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Les politiques devraient le savoir mieux que quiconque : il faut éviter de dire des trucs qui peuvent, d’une manière ou d’une autre, se retourner un jour contre soi. Marine Le Pen semble le découvrir en cette fin d’année 2024, à quelques semaines du verdict du procès sur les assistants parlementaires FN. Après avoir prétendu pendant des années être l’égérie de l’honnêteté en politique face à des adversaires corrompus jusqu’à l’os, la cheffe de l’extrême droite française est désormais dans l’attente d’une éventuelle condamnation. Ah merde alors, comme on dit en bon français. Nulle surprise, donc, à ce que des archives ressortent où l’on entend l’élue dresser toutes les sanctions à prendre contre les politiques qui trichent avec la loi.
Un éminent confrère journaliste a ainsi déterré cette archive d’avril 2013. Le Pen fille est
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