Malgré les preuves contraires, les élections législatives partielles à venir mettent une fois de plus en évidence la fragilité de la coalition gouvernementale.
- Dans les trois circonscriptions concernées (Isère, Ardennes, Hauts-de-Seine), aucun candidat ne représente les quatre partis du “socle commun” (Renaissance, LR, Horizons, MoDem).
- Les troupes censées soutenir Michel Barnier se présentent divisées, illustrant les difficultés de l’alliance entre l’ex-majorité présidentielle et la droite.
En Isère, la candidate LR Nathalie Béranger a affiché son soutien à Michel Barnier sur son prospectus, ce qui a irrité Renaissance, qui présente Camille Galliard-Minier à cette législative partielle.
Le chef du gouvernement aurait-il choisi son camp entre les deux prétendantes en fonction de ses affinités partisanes ? Matignon reste silencieux sur le sujet.
“Eviter une nouvelle Aurélie Trouvé”
Dans les Ardennes, Les Républicains présentent Guillaume Maréchal contre l’ex-député Renaissance Lionel Vuibert, justifiant cette candidature en solo par le fait que le soutien à Michel Barnier ne signifie pas une “noyade” dans une alliance avec Macronie, MoDem et Horizons.
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