Boris Vallaud est l’invité de « Questions politiques »

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Éducation à la vie affective et sexuelle : Borne tient sa promesse, sans vraiment convaincre Le gouvernement a annoncé la mise en place d'une éducation à la vie affective et sexuelle (EVAS) obligatoire dès la rentrée 2023. Cette mesure fait suite à une promesse de campagne d'Emmanuel Macron. Les associations de défense des droits des enfants saluent cette décision, mais émettent des réserves sur son contenu et sa mise en œuvre. Selon elles, l'EVAS doit être dispensée par des professionnels formés et doit aborder tous les aspects de la vie affective et sexuelle, y compris le consentement et les violences sexuelles. Le gouvernement a annoncé qu'il publierait un référentiel national pour l'EVAS d'ici la fin de l'année. Les associations espèrent que ce référentiel sera suffisamment précis et ambitieux pour garantir une éducation de qualité à tous les élèves.

Éducation à la vie affective et sexuelle : Borne tient sa promesse, sans vraiment convaincre Le gouvernement a annoncé la mise en place d’une éducation à la vie affective et sexuelle (EVAS) obligatoire dès la rentrée 2023. Cette mesure fait suite à une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Les associations de défense des droits des enfants saluent cette décision, mais émettent des réserves sur son contenu et sa mise en œuvre. Selon elles, l’EVAS doit être dispensée par des professionnels formés et doit aborder tous les aspects de la vie affective et sexuelle, y compris le consentement et les violences sexuelles. Le gouvernement a annoncé qu’il publierait un référentiel national pour l’EVAS d’ici la fin de l’année. Les associations espèrent que ce référentiel sera suffisamment précis et ambitieux pour garantir une éducation de qualité à tous les élèves.

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