De Dubaï à Belem, les trois années cruciales pour l’action climatique

De Dubaï à Belem, les trois années cruciales pour l’action climatique

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Dans son livre “Effondrement”, Jared Diamond explique que l’étude des civilisations disparues peut nous aider à éviter le déclin mondial. Cette ambition est également celle des COP, les conférences sur le climat de l’ONU.

Chaque année, les pays participants disposent de plus de données scientifiques et d’études sur l’urgence climatique. Pourtant, les négociations sont toujours lentes et complexes.

À la COP29 de Bakou, les diplomates se sont accordés sur un texte principal prévoyant une aide annuelle de 300 milliards de dollars des pays développés aux pays en développement d’ici 2035. Cependant, ces derniers ont jugé cette somme insuffisante pour faire face aux impacts et financer leur transition énergétique.

Confiance ébranlée

Cet accord a ébranlé la confiance entre les parties. Les pays en développement considèrent la finance climatique comme une “réparation” de la “dette climatique” des pays riches, qui ont historiquement émis la majorité des gaz à effet de serre.

Ils estiment que ces milliards sont essentiels pour mettre en œuvre les engagements pris à Dubaï lors de la COP28, qui visait une “transition hors des énergies fossiles”. La COP25 au Brésil, qui se tiendra en 2025, sera cruciale pour renforcer les politiques climatiques des États et maintenir l’espoir de limiter le réchauffement à 1,5 °C.

Le Monde

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