Lors de la soirée “On ne peut plus rien dire” organisée par Filactions et le collectif Metoo Lyon, les humoristes Amélie Coispel et Noam Sinseau ont abordé les thèmes des discriminations avec humour et sensibilité.
Comment différencier les blagues problématiques ?
- Éviter les blagues sexistes ou racistes
- Se renseigner sur les sujets traités
- Demander l’avis de personnes concernées
Un cadre “bienveillant” pour rire en sécurité
Un dispositif d’écoute était prévu pour permettre aux spectateurs de sortir de la salle et de se reposer dans un endroit sûr.
L’importance de l’humour comme outil de militantisme
Les humoristes engagés utilisent leur art pour sensibiliser à la lutte contre les violences faites aux minorités, même auprès de personnes moins informées.
“En affirmant notre identité militante devant tous les publics, on permet aussi à nos histoires d’exister dans d’autres nos milieux que ceux où les gens sont “déjà acquis””, explique Amélie Coispel.
“Et puis, en assumant totalement nos identités, des gens dans le public peuvent voir qu’il y a des gens comme eux sur scène, qui vivent la même chose qu’eux, qu’ils ne sont pas seuls et qu’ils peuvent réussir”, conclut Noam Sinseau.
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