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Calendrier de l’avent
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Devenu iconique, le portrait de dernière page du journal est né en 1994. Pendant tout le mois de décembre, pour célébrer son anniversaire, retrouvez chaque jour un personnage croqué au fil des ans. Et les coulisses de la rencontre.
La Der de Libé a aujourd’hui 30 ans. Et pour fêter cet anniversaire, nous republions 30 portraits, un par année écoulée, agrémentés d’un making-of, farci des anecdotes et du retour d’expérience des rédacteurs et rédactrices maison qui se sont saisis de ces personnalités, connues ou inconnues, au fil du temps.
La Der de Libé est née à l’automne 1994. L’idée initiale est assez simple, et n’a pas varié. La une du journal évoque le monde tel qui va mal. La Der se saisit de l’individu. Plan large et plan serré. Macro et micro. Le multiple et l’un.
En 1994, les évolutions techniques permettent de libérer la dernière page du journal des informations de dernière minute. Le repiquage est désormais possible dans les rubriques intérieures. Cet espace très visible va devenir une contre-une. Soutenue par Serge July, Marie Guichoux va le mettre en forme, en mots et en images. Et, de façon très démocratique, la Der va accueillir un portrait personnel, d’anonyme ou de connu, de militant ou de dirigeant, de particulier ou de standardisé, d’atypique ou d’ultranormé. Le champ des possibles sera labouré. Il y aura en Der des politiques et des artistes, des musiciens et des sportifs, des syndicalistes et des chercheurs, des salariés et des chômeurs, des rêveurs et des navigateurs. Ils et elles seront Français et étrangers, hommes et femmes, hétéros et gays, noirs et blancs, gentils et méchants, doux angelots et noires crapules en une universalité d’attention et de curiosité.
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