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Conso
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Si certains s’inquiètent d’une possible toxicité, de l’appareil électroménager plébiscité, notamment en raison de la présence de téflon, des études scientifiques atténuent les critiques.
Faire des frites, des chips voire un poulet rôti (quasiment) réussis sans huile. Pour les adeptes du manger sain, ou disons moins gras, ce doux rêve porte aujourd’hui un nom : l’airfryer. Cet appareil électroménager, dont il existe près d’un millier de marques selon l’institut GFK, permet de frire, cuire ou rôtir de nombreux aliments ou plats grâce à de l’air chaud pulsé à 70 km/h dans un baquet. Avec à peine une petite cuillerée d’huile. Après s’être introduit en masse dans les foyers américains, brésiliens, britanniques ou coréens, il est désormais plébiscité par les foyers français.
Rien qu’en 2023, selon le Groupement des marques d’appareil pour la maison, il s’est ainsi vendu près d’un million de friteuses à air, sous l’impulsion des distributeurs, de Boulanger à Lidl. L’objet, parfois un chouïa encombrant, devrait se retrouver au pied de nombreux sapins le 25 décembre après les grosses promos du Black Friday. On en trouve d’ailleurs de toutes les tailles, avec toutes sortes d’options (deux bacs, grill, etc.) qui font de certains des minifours. A tous les prix aussi : d’une trentaine d’euros à 500 euros.
«Le recyclage de ses appareils pose question»
Les raisons du succès de cette friteuse 2.0, listées par l’UFC-Que choisir ? Un gain de temps, des é
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