A peine libérée, la Syrie voit ses infrastructures militaires déja détruites par Israël

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Défense

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Profitant de la confusion, l’Etat hébreu mène depuis dimanche une campagne spectaculaire contre l’armée du pays voisin et occuper une zone tampon démilitarisée. En toute illégalité.

Bases aériennes, radars, systèmes de guerre électronique, drones, entrepôts, missiles, batteries de défense aérienne, stocks et usines d’armement, hélicoptères, navires de guerre… C’est à un jeu de massacre géant que se livre depuis dimanche l’armée israélienne sur les infrastructures militaires syriennes. Tsahal profite du flottement créé par la chute du gouvernement de Bachar al-Assad et la mise en retrait des forces de son allié russe pour annihiler tous les moyens militaires de la Syrie et les bases arrière du Hezbollah libanais. L’Observatoire syrien des droits de l’homme, qui tient le décompte des cibles touchées, a indiqué, ce jeudi, que des frappes visaient les alentours de Damas, la capitale. Plus de 500 attaques auraient été menées par Israël en quelques jours avec des moyens aériens, terrestres et navals qui agissent sans entrave. Y compris dans la zone tampon du Golan, et même quelques kilomètres au-delà. Le tout illégalement au regard du droit international.

D’après un post publié sur X par les renseignements militaires ukrainiens, les Russes ont mis en place une noria aérienne pour évacuer, au moins provisoirement, troupes et matériel depuis leur base aérienne de Khmeimim, près de Lattaquié. De même, selon des sources ouvert

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