En direct, guerres au Proche-Orient : des diplomates américains sont en Syrie pour rencontrer des représentants du groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Cham

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Le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, espère que le futur président républicain Donald Trump poursuivra les efforts de l’administration démocrate pour normaliser les relations entre l’Arabie saoudite et Israël.

  • Blinken reconnaît qu’un tel rapprochement n’interviendra pas sous l’ère Biden.
  • Il déclare : « Nous pouvons voir un futur où Israël serait intégré à la région, où il aurait normalisé ses relations avec l’Arabie saoudite et avec les autres puissances avec lesquelles il n’en a pas encore. »
  • Ryad a suspendu les négociations avec Washington concernant un accord comprenant la normalisation des relations avec Israël après le début de la guerre dans la bande de Gaza.
  • Cette normalisation passera par la fin de la guerre à Gaza et par un processus « permettant aux Palestiniens d’avoir l’État auquel ils ont droit », insiste Blinken.
  • La reconnaissance d’un État palestinien est un prérequis « très compliqué » à obtenir, avance le diplomate, expliquant qu’Israéliens et Palestiniens étaient « totalement traumatisés » par la guerre en cours.
  • « J’espère que nous irons aussi loin que possible, mais cela ne sera pas terminé » avant l’arrivée au pouvoir de Donald Trump le 20 janvier, poursuit le chef de la diplomatie de l’administration Biden.
  • « La prochaine administration pourra décider comment elle entend procéder », estime Blinken.
  • Le royaume saoudien n’a jamais reconnu Israël et ne s’est pas joint aux accords d’Abraham négociés par les États-Unis en 2020, qui ont vu ses voisins, Bahreïn et les Émirats arabes unis, établir des liens formels avec Israël, de même que le Maroc.
  • Blinken qualifie de « très bonne chose » la signature des accords d’Abraham pendant le premier mandat de Donald Trump.
  • « Maintenant, l’opportunité est là – et je sais que c’est une chose sur laquelle le président [Trump] se concentrera – pour élargir leur application aux Saoudiens », poursuit-il.
  • En septembre, le prince héritier et dirigeant de facto de l’Arabie saoudite, Mohammed Ben Salman, avait affirmé que son pays n’établirait pas de relations diplomatiques avec Israël avant la « création d’un État palestinien », en fustigeant « les crimes » des forces israéliennes dans la bande de Gaza.

Le Monde

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