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Alors que la nouvelle version du budget 2025 peine à naître, Les Républicains ont trouvé un bouc émissaire pour réduire la dépense publique : l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, plus connue sous l’acronyme Ademe. C’est Gérard Larcher, le président du Sénat, qui a ouvert l’offensive dimanche 12 janvier dans le Parisien, dénonçant une dotation de «plus de 4 milliards» et un effectif de «près de 1 100 équivalents temps plein», et estimant : «La question de l’efficacité de la dépense publique se pose.» Dès le lendemain, Valérie Pécresse lui a emboîté le pas. Sur France Inter, la présidente de la région Ile-de-France, qui évoque pour sa part «5 milliards de budget», a tout simplement proposé de supprimer l’agence, qu’elle présente comme le symbole des doublons au sein des services de l’Etat : «Le problème, c’est que tous les projets financés par l’Ademe, quasiment tous, sont cofinancés par la Banque des territoires et par les régions. Ça veut dire qu’il y a trois administrations qui planchent sur les mêmes projets.»
Une «caricature» aux yeux de la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, qui a rappelé lundi sur X les enjeux financiers : «Les dépenses de fonctionnem
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