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«Vous savez, moi, j’ai proposé ma démission, quand on a dû annuler la projection du Dernier Tango à Paris, balance le directeur de la Cinémathèque française, Frédéric Bonnaud, rencontré lundi dans son bureau rue de Bercy. Je ne suis pas du tout accroché à mon fauteuil. J’ai proposé à Costa-Gavras [président de la Cinémathèque ndlr] : si vous pensez que j’ai merdé, vous avez ma démission. Il m’a dit qu’il n’en était pas question.» De même, le conseil d’administration où siègent des professionnels de renom (tels les cinéastes Olivier Assayas, Claire Denis, Bertrand Bonello, Arnaud Desplechin, Mia Hansen-Love…) vient de renouveler sa confiance et son soutien unanime au quinquagénaire, ancien directeur de la rédaction des Inrocks, à la tête de l’institution cinéphile depuis 2016.
Redépliant la polémique des dernières semaines, Frédéric Bonnaud persiste avec l’abattage d’un bulldozer, affirme, devance les questions sur le ton de la raillerie, appuie ses propos en agitant plusieurs documents devant lui. Le scénario du Dernier Tango à Paris, qu’il a fait sorti
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