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Dans un monde idéal, c’est un air que tout couple devrait fredonner : «Tu veux ou tu veux pas ? Tu veux, c’est bien. Si tu veux pas, tant pis. Si tu veux pas, j’en ferai pas une maladie», d’après les mots interprétés par Marcel Zanini en 1969, repris par Brigitte Bardot l’année suivante. Et pourtant, quand l’un a souvent envie de faire l’amour et l’autre pas, l’asymétrie de désir peut éloigner les amoureux. Ou plutôt, provoquer un sentiment de culpabilité, de la tristesse, parfois même de la souffrance. Comment chaque couple y fait face ? Dans cet épisode, Lisa, 27 ans, infirmière dans l’Ain, a eu pour la première fois un décalage de libido avec son copain. Une brèche qui a provoqué des réflexions essentielles sur son désir et son consentement.
«Je rencontre Matis (1) en festival techno, il y a neuf mois. Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi doux, patient, compréhensif. Pendant six mois, on vit notre relation à distance. Notre désir explose quand on se retrouve, toutes les deux ou trois semaines. On fait aussi ça par téléphone, puis, quand on se sent plus à l’aise, par visio. Il y a trois mois, je quitte Paris pour emménager avec lui, dans l’Ain. On couche tous les jours ensemble, deux fois par jour le week-end. Mon idéal est que chaque soir,
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