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Dans un monde idéal, c’est un air que tout couple devrait fredonner : «Tu veux ou tu veux pas ? Tu veux, c’est bien, si tu veux pas, tant pis. Si tu veux pas, j’en ferai pas une maladie», d’après les mots interprétés par Marcel Zanini en 1969, repris par Brigitte Bardot l’année suivante. Et pourtant, quand l’un a souvent envie de faire l’amour, l’autre pas, l’asymétrie de désir peut éloigner les amoureux. Ou plutôt, provoquer un sentiment de culpabilité, de la tristesse, parfois même de la souffrance. Comment chaque couple y fait face ? Dans cet épisode, Amandine (1), célibataire bisexuelle de 30 ans et cadre en ministère, retrace comment elle a fini par accepter sa forte libido, notamment en ouvrant ses relations.
Avertissement
Cet article décrit des faits de violences sexuelles et peut choquer.
«Depuis presque dix ans, ma libido est plus forte que celle de mes partenaires. Ça n’a pas toujours été le cas. Ado, je me rends compte que j’ai plus de plaisir seule qu’à deux. Je pense avoir un problème. J’en parle à ma mère – dans notre famille, la sexualité n’est pas un tabou. Elle me répond que parfois elle aussi ne ressent pas de plaisir, mais qu’elle le fait quand même. Déjà à l’époque, je trouve ça bizarre comme réflexion. Elle me propose de voir un sexologue. Dans son bureau, il me demande de fermer les yeux : “Visualise-toi comme un arbre,
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