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Ses partisans l’entourent et l’applaudissent de tous les côtés, comme sur un ring de boxe. Ce samedi 1er février après-midi, Jean-Luc Mélenchon vient d’enchaîner son deuxième discours en moins de vingt-quatre heures à Toulouse (Haute-Garonne). Dans la vaste salle municipale Jean-Mermoz, théâtre de tant de meetings politiques dans la ville, le public est davantage clairsemé que la veille dans le grand amphi bondé de l’université du Mirail, rebaptisée «Jean-Jaurès». Plus de 400 personnes se sont inscrites pour participer toute la journée à la troisième édition des «Rencontres nationales des quartiers populaires».
Ces «RNQP» ont été lancées en 2018 par Eric Coquerel pour agréger toutes les bonnes volontés dans ces quartiers que l’ont dit «sensibles». «On a environ 40 % de participants toulousains et 60 % venus de Montpellier, Marseille et de toute la France», estime François Piquemal, député LFI de Toulouse. L’ancien porte-parole local du Droit au logement (DAL) et conseiller municipal d’opposition est fortement impliqué dans l’opération, sa circonscription englobant la plupart des quartiers du Mirail. La thématique choisie pour cette journée lui va comme un gant : comment s’organiser en vue des élections municipales de mars 2026 ?
Jean-Luc Mélenchon a pourtant déjoué les pronostics des observateurs locaux, qui
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