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«L’année 2025 est vraiment charnière pour Tesla.» Cette prophétie n’est pas l’œuvre d’un analyste audacieux ou d’un fan éperdu de la marque, mais d’Elon Musk, le 29 janvier, lors de l’annonce des résultats annuels de la boîte. Laissant de côté un court instant ses outrances, ses soutiens aux extrêmes droites et sa liquidation d’agences américaines, le PDG du groupe automobile délivre un discours fleuve à ses investisseurs. Pendant quarante minutes, il est parfois question des fameuses voitures électriques individuelles, plus souvent de véhicules autonomes, d’intelligence artificielle ou de robotique. Il faut rassurer l’auditoire, car pour la deuxième année de suite, les bénéfices ont baissé, de moitié en 2024, pour atteindre 7,1 milliards de dollars, contre quasiment 15 milliards en 2023. La raison en est moins les sorties outrancières de Musk que la concurrence exacerbée de
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