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Cela aura été la mort de trop. Je n’ai pas pour habitude de descendre les films, j’aime les célébrer, les partager, les voir et les revoir. Aujourd’hui cependant j’ai envie de réagir devant cette Xième mort qui ne fait qu’habituer un peu plus au sort des homosexuels et des personnes LGBT + dans leurs représentations au cinéma, qui ne fait qu’en rajouter dans l’association homo-violence qui heurte toute une frange de population depuis des décennies.
Couvert d’éloges, la Pampa, premier film prometteur autour de deux adolescents dans le monde de la moto-cross se présentait pourtant comme un film qui allait penser les relations autrement, aborder l’homosexualité autrement, ne pas enfoncer les mêmes clous dans les mêmes cercueils. Pourtant, comme à la fin de Girl de Lukas Dhont, où le personnage principal se tranche le sexe, j’ai bondi quand j’ai compris ce qui allait se passer. Je suis sorti avant de voir ce qui était voulu comme un moment de drame paroxystique, puisqu’il en faut, un drame vendu comme engagé, voire militant.
Je voudrais dire ici que je n’en peux plus de voir les personnes gays ou trans mourir, que cela soit leur seul horizon cinématographique. Se sentir honteux, traverser des comin
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