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Une «révolution dans l’industrie du textile made in France». Ce mercredi matin, Le Slip français a lancé son opération de communication pour la présentation de l’usine «Bonne nouvelle». Dans l’atelier où s’empilent les fameux sous-vêtements de la marque bleu blanc rouge, le bruit des machines est presque couvert par celui de la foule d’invités qui se faufilent entre les ouvriers à l’œuvre à leur poste de travail. «Je me suis mis sur mon 31, y compris sur ce que je ne peux pas vous montrer, mon “Slip français”. Ils sont de qualité, élégants, séduisants. Ma femme apprécie beaucoup», badine Bruno Le Maire, avec la familiarité du responsable politique libéré de ses obligations.
L’ancien ministre de l’Economie, désormais conseiller chez ASML, le géant néerlandais des semi-conducteurs, est «venu en ami» avec le directeur général la BPI, Nicolas Dufourq pour soutenir «Le Slip», dont l’aventure a failli s’arrêter l’année dernière. Mais l’occasion de faire de l’événement une tribune politique n’a pas échappé à l’ancien locataire de Bercy. «Nous devons réparer la faute économique, politique et morale des générations précédentes qui ont brutalement abandonné l’industrie, lâché les ouvriers, et accepté les délocalisations», a harangué Bru
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