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«Il nous faudrait une Nuit debout du Nouveau Front populaire !» Le cri du cœur vient de Sandrine Rousseau, désespérée par le climat de divorce qui règne à gauche ces temps-ci. De quoi en appeler à la nécessité d’un rassemblement par la base militante, plus unitaire que les formations partisanes repliées sur leurs intérêts électoraux respectifs. Et convoquer la référence au mouvement citoyen né au printemps 2016 pendant les manifestations contre la loi travail, dont l’une des figures de proue était alors le journaliste pas encore député François Ruffin. Sandrine Rousseau déplore en effet que la coalition de gauche se soit résumée à des réunions entre les quatre patrons de partis, au lieu de s’ouvrir à l’ensemble des élus, et même la société civile élargie aux syndicats et aux associations qui se sont investis dans la campagne l’été dernier.
«Parce que ça signifie que dès que les quatre chefs ne se parlent plus, le NFP n’existe plus», pointe-t-elle. «Les appareils sont en train de nous tuer. On avait de l’or dans les mains après être arrivés en tête des élections en juillet, et on n’en a rien fait. On l’a même transformé
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