:quality(70):focal(1231x855:1241x865)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/NRWTH3JIIVEFJPVHF2OS4WGSL4.jpg)
C’est le deuxième effet Kiss Cool de la nomination, à une voix près et grâce à l’abstention du RN, de Richard Ferrand au Conseil constitutionnel : le procès en illégitimité. Un déficit d’autorité qui ouvre une nouvelle séquence pour les oppositions : demander à l’ancien président de l’Assemblée de renoncer à sa désignation. Cette requête émane de (presque) tout le spectre politique. Seul le parti d’extrême droite, qui a sauvé les miches de Ferrand, n’est pas sur cette ligne. «Le RN a choisi la plus perverse des manipulations. Faire peser sur le président du Conseil constitutionnel un soupçon éternel de dette à l’égard du RN et donc un discrédit de l’institution. Pour préserver l’état de droit, Ferrand doit se retirer», a jugé la sénatrice PS Laurence Rossignol sur X, à l’unisson de son président de groupe Patrick Kanner. D’autres roses demandent a minima que Ferrand ne préside pas l’institution.
Les insoumis sont aussi sur cette ligne, tout comme les écolos qui ont même lancé une pétition pour «exiger qu’il refuse le p
Leave a Comment