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Cette fois, ça sent vraiment le sapin pour Olaf Scholz. Avec dix points de retard sur son adversaire, le conservateur Friedrich Merz, dans les derniers sondages, le chancelier social-démocrate sortant (SPD) n’a plus aucune chance de remporter les élections anticipées de ce dimanche en Allemagne. Pas de remontada comme en 2021 lorsqu’il avait coiffé les conservateurs au poteau alors qu’il était donné perdant. Malgré une bonne campagne, axée sur la défense de l’Etat social et la menace d’une alliance entre l’Union chrétienne-démocrate (CDU) et l’extrême droite, la défaite est inévitable. Elle risque aussi d’être cuisante pour son «gouvernement de progrès» : le SPD s’attend à un score autour des 15 %, une défaite historique, contre près de 26 % en 2021.
Les électeurs s’apprêtent à sanctionner son gouvernement composé de sociaux-démocrates, d’écologistes et de libéraux (virés en novembre) qui ont
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