Face au «massacre de masse» des femmes afghanes, nous devons assistance à peuple en danger

Face au «massacre de masse» des femmes afghanes, nous devons assistance à peuple en danger

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Avons-nous vraiment conscience de ce qui arrive aujourd’hui aux femmes et aux filles en Afghanistan ? C’est tellement impensable, inimaginable que nous peinons à nous le représenter.

Depuis le retour des talibans au pouvoir en août 2021, de nouvelles lois, directives, déclarations viennent, systématiquement, jour après jour, persécuter les Afghanes, les exclure du monde, les isoler, les asphyxier, anéantir leurs droits les plus fondamentaux et jusqu’au droit à la vie. Pourquoi tant de haine ?

Aujourd’hui, les Afghanes sont emmurées vivantes dans les maisons. Les fenêtres des pièces où elles se tiennent doivent être condamnées pour qu’on ne puisse pas les apercevoir de l’extérieur. Elles ne peuvent sortir qu’en cas de «nécessité», uniquement avec un «tuteur» et dans un vêtement qui les invisibilise.

Dehors, elles n’ont pas le droit d’entrer dans les parcs. Tous les salons de beauté ont été fermés. Les hammams et les salles de sport leur sont interdits. Elles n’ont plus le droit de chanter, de lire de la poésie, ni même de parler en public et doivent porter un masque sur la bouche. Leur voix est interdite.

Mois après mois, elles ont été interdites d’éducation à partir de 12 ans, exclues des universités. Puis elles ont été privées de tout emploi et ré

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