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Vladimir Poutine peut se frotter les mains, sans toujours avoir levé le petit doigt. Depuis la reprise officielle de ses relations avec Washington, il y a peine quinze jours (ressenti 100), les souhaits du Kremlin commencent à se réaliser, par l’intercession de Donald Trump. A commencer par une fêlure de la dorsale transatlantique, la dislocation de cet «Occident collectif» si hostile à la Russie. Les Etats-Unis d’Amérique et l’Union européenne ne sont plus du même côté des barricades. Dans un enchaînement vertigineux, qui a culminé vendredi avec la séance d’humiliation dans le Bureau ovale par les leaders américains d’un président ukrainien acculé mais droit dans ses bottes, Washington semble avoir définitivement choisi son camp : avec Moscou, contre l’Europe. Qui, elle,
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