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Une mobilisation intense, sans grands effets jusqu’ici. Après six mois de crise de la chimie grenobloise, élus locaux et syndicats se sont heurtés aux refus successifs des gouvernements Barnier puis Bayrou de s’engager dans la sauvegarde des activités de production menacées sur les plateformes chimiques du Pont-de-Claix et de Jarrie, dans l’agglomération iséroise.
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