:quality(70):focal(2817x1142:2827x1152)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/TT4AWZCKANENTKSRQK3VUC6JMQ.jpg)
La multiplicité des relations intimes qui s’offrent à nous a de quoi donner le tournis. Parmi celles-ci, la fameuse histoire d’un soir. Celle qui découle d’une rencontre fortuite et qui, malgré son caractère éphémère, peut marquer. En juin 2024, une étude de l’Ined pointait que 21 % des 18-29 ans avaient connu une histoire d’un soir au cours des douze derniers mois. Mais ils ne sont pas les seuls concernés. Pour Libé, ils ou elles reviennent sur cette soirée mémorable, avec ou sans rapport sexuel, qui tient de l’anecdote farfelue ou reste un agréable souvenir. Dans notre troisième épisode, Aurélie (1), 37 ans, ingénieure pédagogique à Lille, se remémore une soirée parisienne torride.
«A 30 ans, je vis à Paris et je vois Julien (1) assez souvent. Nous sommes entre le plan cul et la situationship [relation dont les termes ne sont pas clairement définis, ndlr]. Je m’apprête à quitter Paris pour Lille donc il n’y a pas de futur possible entre nous. On se retrouve, un soir, dans un bar où il est présent avec deux de ses amis d’enfance. Je suis bourrée et je commence à
Leave a Comment