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Design
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La manufacture de mobilier métallique, reprise en 2022 par deux anciens de chez Balmain après des difficultés financières, réédite une version plus «accessible» de sa célèbre assise de bistrot créée en 1935. Une tentative pour concurrencer les copies bas de gamme asiatiques.
C’est une icône quasi-nonagénaire. Sa silhouette arrondie, mais aussi le bruit produit par les vibrations de la tôle quand ses pieds raclent le sol, est ultra reconnaissable, que l’on aime traîner dans les bistrots ou non. Logique, donc, que Tolix ait décidé de ressortir cette semaine à un prix «accessible» (180 euros l’unité en ligne ou en vente directe au showroom parisien du boulevard Saint-Germain) sa chaise «A» en tôle d’acier embouti, après la réédition l’an passé de deux autres assises emblématiques, la T37 et la UD. «Jusque-là, on avait mis cette chaise de côté», explique Emmanuel Demioz, propriétaire de la marque rachetée en 2022 avec Antoine Bejui.
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«Or, déroule cet ancien dirigeant de chez Balmain, elle fait partie du paysage du mobilier français. Mais comment agir pour faire regoûter à du made in France, à du fabriqué à la main et pas trop élitiste ? C’est pour ça qu’on a choisi de revenir à une palette de couleurs plus restreinte mais en gardant la brillance.» Conçue en 1935 par le chaudronnier Xavier Pauchard, la A a largement participé à la renommée de la petite manufacture centenaire de mobilier métalli
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