:quality(70):focal(1695x2235:1705x2245)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/A7I4XVE4M5GEXEZVKW5OMKDP74.jpg)
Chez Pol
Article réservé aux abonnés
Les députés de la coalition gouvernementale ont déposé un très grand nombre d’amendements sur le projet de loi de finances, susceptibles de prolonger les débats au-delà de la durée impartie. La gauche a décidé de retirer une partie des siens pour accélérer la cadence.
Extrait de Chez Pol, notre newsletter politique réservée à nos abonnés : découvrez-la gratuitement.
La vie politique française semble parfois à fronts renversés depuis la dissolution. Dernier exemple en date : l’obstruction parlementaire, ce phénomène d’enlisement des débats qui empêche de les mener à leur terme du fait d’un trop grand nombre d’amendements déposés. D’ordinaire, c’était un grief adressé à la gauche, et à La France insoumise en particulier (par exemple sur la réforme des retraites). Dans le camp présidentiel, certains plaidaient même pour restreindre le droit d’amendement de l’opposition, pourtant constitutionnellement garanti. En 2018, le gouvernement d’Edouard Philippe avait ainsi proposé de le contrôler en attribuant un quota maximum à chaque groupe, proportionnel à son nombre
Leave a Comment