Cinq ans pour un bébé (3/5) : «J’ai beau l’accompagner, faire moi-même des tests, je me sens impuissant»

Cinq ans pour un bébé (3/5) : «J’ai beau l’accompagner, faire moi-même des tests, je me sens impuissant»

Главная страница » Cinq ans pour un bébé (3/5) : «J’ai beau l’accompagner, faire moi-même des tests, je me sens impuissant»

Quand le désir d’enfant pointe le bout de son nez, il prend aux tripes, comme une urgence. Hélas, la route est parfois bien plus longue que neuf mois. Une grossesse sur quatre se termine en fausse couche tandis que la fertilité est en berne. Charlotte et Frédéric, 35 et 34 ans, connaissent ces épreuves. Elle travaille dans une association, il est enseignant chercheur précaire. Ils se sont rencontrés en 2017 et ont rapidement voulu créer leur «tribu famille» sans connaître les difficultés qui les attendaient. Ils veulent raconter leur histoire, pour que d’autres couples se sentent moins seuls.

Frédéric : «Après la grossesse extra-utérine, le Covid et chacun dix ans de vie à Paris, on ressent un besoin de renouveau. En novembre 2021, on déménage à Arles. On se pose beaucoup de questions : comment va-t-on mettre en place un processus médicalisé ?»

Charlotte : «Je fais une échographie pelvienne chez le gynécologue. Il voit que j’ai un kyste sur l’ovaire gauche et me fait une – attention, préparez-vous – une hystérosalpingographie pour vérifier mes trompe

Libération

Post navigation

Leave a Comment

Schreibe einen Kommentar

Deine E-Mail-Adresse wird nicht veröffentlicht. Erforderliche Felder sind mit * markiert

Trois recettes de dahl hivernal

**Cuisine indienne vegan : les recettes de famille** Originaire du Gujarat, État de l’ouest de l’Inde réputé pour sa cuisine végétarienne, Natasha Tourabi et sa mère, Yasmine Tourabi, partagent dans…