:quality(70):focal(2507x1003:2517x1013)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/ITSUIUL4ABBT3ISQYDPAVH52Z4.jpg)
Battus sans rémission par le Borussia Dortmund ce mercredi 12 mars dans leur stade Pierre-Mauroy, bien plus nettement que le score l’indique (1-2), les Lillois ont quitté la compétition reine au lendemain de l’exploit majuscule du Paris-SG en Angleterre. S’ils avaient donné l’impression de pouvoir tenir le choc face aux vice-champions d’Europe en titre lors du match aller dans la Ruhr (1-1), ils sont descendus de très haut mercredi, d’autant plus haut qu’ils ont été soignés par les circonstances (un tombereau d’occasions allemandes enfumées, un but venu de nulle part) dans des proportions bibliques. Il n’y a pas de regret à avoir. Ce qui n’a aucune chance d’atténuer la déception d’une équipe qui aura accroché le scalp du Real Madrid ou de l’Atlético lors d’une campagne européenne fastueuse.
Les footballeurs ont une expression à eux : le «but inscrit dans les vestiaires». Avant que le match ait vraiment commencé, quand les deux équipes se reniflent sans avoir véritablement installé le rapport de force. Ils sont un peu à part : souvent le fruit d’une saute de concentration, le fautif ayant raté quelque chose dans son approche du match (la montée en agressivité ou la connexion avec un coéquipier) et ouvert un espace où l’attaquant adverse se glisse un peu par hasard, sans trop savoir pourquoi. Le but
Leave a Comment