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Devenir végétarien, voire végan, pour des raisons écolos ou par souci éthique, est dans l’air du temps. Ces régimes, qui excluent la chair animale (viande et poisson) pour le premier, et tout produit d’origine animale (jusqu’au miel), pour le second, rassemblent une minorité de Français – seuls 2 à 5 % des interrogés se déclarent végétariens et végétaliens dans les rares études hexagonales. Mais ils ont gagné en visibilité et en légitimité, au point d’irriter certains de leurs détracteurs (lobbys de la viande et du lait, éleveurs, viandards revendiqués, etc.) qui pointent les dangers supposés, notamment sanitaires, de ces diètes excluantes.
La controverse, alimentée à grand renfort d’idées reçues ou de fake news, est néanmoins en passe d’être tranché grâce à la science. Rendues publiques ce jeudi 13 mars, deux expertises très attendues de l’Agence nationale de sé
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