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N’en déplaise à Michel Houellebecq, Niort n’est pas «laide», comme le romancier l’écrit dans Sérotonine. Le 12 mars, Edouard Philippe admire ses magnifiques halles du XIXe siècle, au cours d’une de ces visites de deux jours que le déjà candidat à l’élection présidentielle de 2027 organise à bas bruit aux quatre coins de la France, sans embarquer la presse nationale dans ses bagages. C’est dans le chef-lieu des Deux-Sèvres que le nom de François Bayrou s’affiche sur son portable. L’actuel Premier ministre veut voir son prédécesseur. Après quelques flottements d’agenda du côté de Matignon, rendez-vous est pris pour ce mercredi 19 mars. Un déjeuner expédié entre le Conseil des ministres et les questions au gouvernement de 14 heures à l’Assemblée, que les entourages des deux hommes n’ont confirmé que du bout des lèvres à Libération. Et catégoriquement refusé de commenter.
C’est peu dire que la perspective de ce tête à tête n’a pas adouci le président d’Horizons en fin de semaine dernière. Dimanche 16 mars, en meeting à Lille (Nord), il envoie une rafale de piques à Bayrou. Le «conclave» sur les retraites que
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