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Chez Pol
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L’ex Premier ministre mène une campagne officieuse depuis des semaines pour s’emparer du parti macroniste, et s’apprête à officialiser sa candidature par un événement clinquant organisé le 5 novembre à la questure.
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En théorie, Elisabeth Borne est seule sur la ligne de départ de l’élection pour diriger le parti présidentiel. Mais le favori, Gabriel Attal, ne cesse depuis des semaines d’annoncer depuis les coulisses un acte de candidature imminent. Le patron du groupe Ensemble pour la République (EPR), qui ne cesse de sillonner les antennes locales de Renaissance depuis la fin de l’été, devra pourtant le faire avant le 4 novembre, date limite pour déclarer ses velléités de succession à Stéphane Séjourné. Son entrée en campagne semble en tout cas déjà calée. Le 5 novembre, le bref et ex-Premier ministre a convié, avec la questeure Brigitte Klinkert, les anciens députés macronistes, élus depuis 2017, à la questure de l’Assemblée «pour un moment convivial». Une petite sauterie qui prouve la volonté d’Attal de marquer rapidement les esprits dans une campagne qui sera courte : les adhérents du mouvement macroniste éliront les 23 et 24 novembre le conseil national qui sera, lui, chargé de désigner le 7 décembre leur nouveau patron.
Cette élection pour la tête de Renaissance promet en tout cas de grands moments de camaraderie interne. Non, on plaisante : ça va tirer dans tous les sens. Ça a d’ailleurs déjà commencé. Dimanche 27 octobre sur France 3, Yaël Braun-Pivet a longuement visé l’an
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