A une semaine de l’élection présidentielle américaine, Donald Trump fait face à des accusations d’autoritarisme et de sympathie pour l’idéologie fasciste.
- Lors d’un meeting à New York, certains propos de Trump ont été jugés racistes, suscitant l’indignation.
- L’ancien président a affirmé lors d’un rassemblement en Géorgie : “Je ne suis pas un nazi, je suis le contraire d’un nazi”.
- Cette prise de position fait suite aux attaques de la candidate démocrate Kamala Harris, qui a relayé les accusations de John Kelly, ancien chef de cabinet de Trump.
- Kelly a déclaré que Trump répondait à “la définition d’un fasciste” et a évoqué des déclarations attribuées à Trump, selon lesquelles Hitler aurait “fait de bonnes choses”.
Ces propos ont suscité des critiques de la part des démocrates et des observateurs, certains y voyant une justification des positions controversées de Trump.
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