Les “insoumis” ont annoncé le lancement d’une seconde procédure de destitution contre le président de la République, Emmanuel Macron, le 29 octobre. Celle-ci sera débattue dans le cadre de leur niche parlementaire le 28 novembre.
Les députés LFI espèrent ainsi contourner le blocage de la conférence des présidents, qui avait décidé de ne pas inscrire la motion de destitution à l’ordre du jour de la séance publique.
La question de la recevabilité de la nouvelle motion de destitution se posera à nouveau au bureau de l’Assemblée. Le Nouveau Front populaire (NFP) y est majoritaire, mais la gauche votera-t-elle d’une même voix ?
“Il faut ménager ses effets”
Les députés socialistes avaient voté pour la recevabilité de la première motion de destitution, mais contre sur le fond. Ils estimaient qu’il fallait se débarrasser rapidement de cette initiative des “insoumis”, qui pouvait se transformer en “sparadrap du capitaine Haddock” pour eux.
Les socialistes n’ont pas encore discuté de leur position sur la nouvelle motion de destitution.
Il vous reste 22.74% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Leave a Comment