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Interview
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Ce mercredi 20 novembre, la Défenseuse des droits publie un rapport sur le droit des enfants à un environnement sain. Elle alerte sur la nécessité de ne pas les laisser de côté dans la lutte contre le dérèglement climatique.
Les droits des enfants sont les premières victimes de la dégradation environnementale. C’est le constat que dresse la Défenseuse des Droits, Claire Hédon, à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, ce mercredi 20 novembre. Dans un rapport, la haute autorité administrative alerte sur le fait que «tous les aspects de la vie des enfants sont touchés» et appelle à améliorer leur participation aux politiques publiques.
Comment votre institution en est-elle arrivée à travailler sur l’impact des dérèglements climatiques sur les enfants ?
L’idée de ce rapport était d’étudier comment la dégradation environnementale porte atteinte aux droits les plus essentiels des enfants et de proposer des recommandations pour mieux les faire respecter. Les constats sur la situation climatique ont déjà été faits, mais la prise en compte des conséquences sur les enfants et leurs droits reste largement insuffisante. Les réglementations ne traitent pas de la particulière vulnérabilité des enfants. Des exemples récents et dramatiques nous rappellent l’impératif de ce droit à un environnement sain : je pense notamment à Emmy, reconnue comme
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