Procès des viols de Mazan : « Pas des monstres » mais des « personnalités banales »… Les 50 accusés restent introuvables

Procès des viols de Mazan : « Pas des monstres » mais des « personnalités banales »… Les 50 accusés restent introuvables

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**Procès des viols de Mazan : un procès inachevé**

La cour criminelle du Vaucluse a examiné pendant plus de dix semaines l’affaire des “cinquante de Mazan”, des hommes accusés d’avoir violé une femme droguée à son insu.

  • Les accusés ont été reconnus pénalement responsables, malgré leur dénégation.
  • La victime, Gisèle Pelicot, a exprimé sa colère face à la lâcheté des accusés.
  • Le procès n’a pas permis de comprendre pleinement les motivations des accusés.

Des profils variés**

Selon les experts, les accusés ne présentent pas un profil homogène. Ils ont des caractéristiques sociales normales, comme un travail, une famille et des relations sociales.

“Toute possibilité d’action”**

Certains accusés ont reconnu avoir été attirés par le fait d’avoir “toute possibilité d’action” sur la victime. Ils pensaient pouvoir disposer de son corps comme ils le souhaitaient.

Des justifications variables**

La majorité des accusés affirment avoir été piégés par Dominique Pelicot, l’organisateur des viols. Certains disent avoir été drogués, d’autres invoquent un “scénario libertin”.

Biais cognitif de confirmation**

Selon les experts, les accusés ont pu être influencés par un “biais cognitif de confirmation”, les amenant à ignorer les signaux indiquant qu’ils étaient dans une situation illégale.

Facteurs d’opportunité**

Les psychologues et psychiatres estiment que le passage à l’acte a été motivé par des “facteurs d’opportunité”, comme la possibilité d’accéder facilement à une jouissance sexuelle.

Un portrait-robot impossible**

En raison de la variété des profils et des motivations, il est impossible d’établir un portrait-robot des “hommes de Mazan”.

20 Minutes